
Invers s’est donné pour mission de réduire l’impact environnemental des protéines dans l’alimentation animale. Nous développons une filière d’élevage d’insectes durable qui bénéficie à tout notre écosystème :
- Au niveau du territoire : achat de son en local, usage du frass comme fertilisant, revenu complémentaire des agriculteurs pour un territoire dynamique et résilient
- Au niveau national : œuvrer pour le manger mieux, avec des animaux nourris sainement, et pour la souveraineté alimentaire
- Au niveau international, pour la préservation de la biodiversité marine : pour 1 tonne de larves intégrées à l’alimentation des poissons d’élevage, c’est 1 tonne de poissons qui ne sera pas pêchée dans les océans
Notre mission sera un succès quand inverser les tendances sera devenu l’objectif de tout un territoire, embarqué vers une économie régénérative.
Invers s’engage dans un développement durable, qui maximise les co-bénéfices pour l’ensemble des acteurs de notre écosystème : clients et consommateurs, agriculteurs partenaires, biodiversité locale et marine, salariés.
- Haute valeur nutritionnelle
- Des clients satisfaits
- Une filière locale 100% française
- Résilience face au dérèglement climatique
- Valorisation des co-produits agricoles du territoire
- Préserver la biodiversité marine
- Préserver la biodiversité du territoire par le soutien de pratiques agricoles éco-responsables chez nos partenaires
- Un modèle circulaire qui minimise son empreinte sur les ressources
- Réduire nos émissions carbone
- Réduire les émissions carbone dans le secteur de l'alimentation animale
- Satisfaction au travail
- 100% des salariés sensibilisés aux enjeux climatiques
Le durcissement des standards européens de durabilité, la lutte contre l’écoblanchiment, la pression sociale de plus en plus forte en faveur d’une justice environnementale et l’intensification des aléas climatiques sont autant de signaux d’urgence qui nous exhortent à Inverser la tendance.
Les protéines à destination de l’alimentation animale sont au cœur des enjeux de souveraineté alimentaire et sont particulièrement visées : l’Europe est aujourd’hui dépendante à 70% d’importations. Des importations non durables et aux conséquences souvent désastreuses pour l’environnement et les populations locales.
Le soja importé d’Amérique du Sud à l’origine de déforestations sans précédent. L’Union Européenne est le troisième consommateur mondial de tourteau de soja, plus de la moitié de sa consommation est importée et 85% est destiné à l’alimentation animale (volaille et porcs à 75%). Ce qui n’est pas sans conséquence : au Brésil, l’expansion des terres pour l’agriculture devrait augmenter de 10 millions d’hectares supplémentaires dans les 5 prochaines années
La farine de poisson, issue de la capture des poissons situés en bas de la chaîne alimentaire — comme les sardines et les anchois - pour alimenter les poissons d’élevage, les porcs et les volailles. 90% des poissons ciblés sont parfaitement comestibles par les humains. Il faut entre 1,5 et 3kg de poisson sauvage pour produire 1kg de poisson d’élevage
Une autre voie est possible, c’est le défi relevé par Invers.